
APS : Le premier pilier vers l’élimination du paludisme au Sénégal est d’arriver à l’accès universel à toutes les interventions à efficacité prouvée, a indiqué lundi le docteur Doudou Sène, coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP).
Dans la recherche, ’’on retrouve la microscopie et la recherche dans la génomique qui permet d’avoir les outils nécessaires permettant de prétendre à aller vers l’élimination du paludisme au Sénégal’’, a-t-il dit à l’ouverture d’un des cours internationaux de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur l’accréditation des microscopistes du paludisme, qui se tient jusqu’à vendredi, à Dakar.
Il a également évoqué ’’la surveillance’’ qui sous-tend ’’la capacité de faire un bon diagnostic incluant la recherche et l’innovation’’.
Le docteur Doudou Sène est revenu sur l’importance de cette 11-ème session de cours d’accréditation de l’OMS en microscopie, qui tient à la place du diagnostic dans le dispositif de la lutte contre le paludisme.
"Il est important que les agents qui sont sur le terrain, notamment au niveau périphérique, puissent avoir cette capacité à pouvoir faire un très bon diagnostic", a-t-il dit.
D’après le docteur Sène, ’’lorsqu’on passe à côté du diagnostic, on rate tout le reste, et ce cours permet d’avoir des experts capables de contrôler la qualité du travail fait par les autres agents biologistes qui sont dans les centres et les postes de santé’’.
Pour qu’un pays soit reconnu capable d’atteindre l’élimination du paludisme, l’OMS, dit-il, a mis en place un dispositif indiqué.
’Au moment de valider l’élimination pour un pays, il y a tout un audit qui est fait pour voir quels sont les dispositifs mis en place’’, a encore dit le coordonnateur du PNLP.
Aussi dans les stratégies d’élimination du paludisme, est-il "extrêmement important" de s’assurer de l’expertise des techniciens des laboratoires dans leur capacité à détecter, identifier et quantifier les portages parasitaires, a t-il expliqué.
Le cours de l’OMS a pour but d’améliorer la qualité de la prise en charge du paludisme au niveau opérationnel. Il cible les techniciens des laboratoires des districts et des hôpitaux.
APS : Le premier pilier vers l’élimination du paludisme au Sénégal est d’arriver à l’accès universel à toutes les interventions à efficacité prouvée, a indiqué lundi le docteur Doudou Sène, coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP).
Dans la recherche, ’’on retrouve la microscopie et la recherche dans la génomique qui permet d’avoir les outils nécessaires permettant de prétendre à aller vers l’élimination du paludisme au Sénégal’’, a-t-il dit à l’ouverture d’un des cours internationaux de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur l’accréditation des microscopistes du paludisme, qui se tient jusqu’à vendredi, à Dakar.
Il a également évoqué ’’la surveillance’’ qui sous-tend ’’la capacité de faire un bon diagnostic incluant la recherche et l’innovation’’.
Le docteur Doudou Sène est revenu sur l’importance de cette 11-ème session de cours d’accréditation de l’OMS en microscopie, qui tient à la place du diagnostic dans le dispositif de la lutte contre le paludisme.
"Il est important que les agents qui sont sur le terrain, notamment au niveau périphérique, puissent avoir cette capacité à pouvoir faire un très bon diagnostic", a-t-il dit.
D’après le docteur Sène, ’’lorsqu’on passe à côté du diagnostic, on rate tout le reste, et ce cours permet d’avoir des experts capables de contrôler la qualité du travail fait par les autres agents biologistes qui sont dans les centres et les postes de santé’’.
Pour qu’un pays soit reconnu capable d’atteindre l’élimination du paludisme, l’OMS, dit-il, a mis en place un dispositif indiqué.
’Au moment de valider l’élimination pour un pays, il y a tout un audit qui est fait pour voir quels sont les dispositifs mis en place’’, a encore dit le coordonnateur du PNLP.
Aussi dans les stratégies d’élimination du paludisme, est-il "extrêmement important" de s’assurer de l’expertise des techniciens des laboratoires dans leur capacité à détecter, identifier et quantifier les portages parasitaires, a t-il expliqué.
Le cours de l’OMS a pour but d’améliorer la qualité de la prise en charge du paludisme au niveau opérationnel. Il cible les techniciens des laboratoires des districts et des hôpitaux.